Contrairement au Service public, le principe de laïcité inscrit dans la Constitution française n’existe pas en entreprise. Il y a donc lieu de s’adapter à la liberté de conscience des salariés. Et face à l’essor de l’entrisme islamique en France, un constat s’impose : le monde du travail est le grand absent. Entre-temps, le phénomène s’y développe sans distinction de classe, autant sur les sites industriels que dans les bureaux. Les syndicats manipulés, le refus d’être dirigé par des femmes manager ou leur éviction des CSE laissent sans voix. 

Face à la hantise d’être taxé d’islamophobe ou de voir se tenir une manifestation islamiste sur le parking pour une banale histoire de voile achève de tétaniser les Dirigeants. Entre complaisance et confrontation, quelle est la voie du milieu susceptible d’apporter une solution, mettant fin au clivage entre communautés ? 

Les approches importées des USA sous l’intitulé « gestion de la diversité », véhiculées par les milieux académiques, les Universités, les Grandes écoles, s’avèrent, inadaptées en France, contre-productives, voire dangereuses. « Elles finissent par livrer l’entreprise à l’habileté du prosélytisme islamique », comme l’indique Adel Paul Boulad, Docteur en sciences physiques, formateur à l’INSEAD et Professeur, dans son ouvrage, « Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise ». Un ouvrage dans lequel l’auteur franco-égyptien propose cette troisième voie, sans confrontation ni complaisance : la « Voie du Manager, concrète et opérationnelle ». 

Un Guide pratique, bien documenté, s’appuyant sur l’expérience de salariés, des managers et des DRH, soucieux d’établir des relations de confiance, qui apporte des outils essentiels…

 

Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise, Préface de Jean Kaspar, Consultant en stratégies sociales,

ancien Secrétaire général de la CFDT. 

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